Le week-end arrive et j’ai tout mon temps pour me rappeler les évènements de la semaine. Je pense aux moments préférés avec mon amant:
- L’attente de son arrivée dans la hall de l’hôtel
Chaque fois j’essaie de rester calme, j’observe ma nervosité, mon excitation, j’aime bien sentir mes emotions se mijoter en moi – je me sens tellement vivante!
- Le prélude
La porte se ferme et je le regarde vider ses poches, éteindre son téléphone. Il m’aborde avec une certaine urgence pour m’embrasser, il me regarde, il m’embrasse, et il réflechit par où il peut commencer à me toucher.
- Le slip
Au moment où je retire son slip, son sexe, toujours érigé, saute vers ma bouche, enfin je vois la veine bleue si aimée, si attendue, et ma langue l’attrape pour le lécher goulument.
- Putain
Il adore être sucé et j’entends ses gémissements jusqu’au moment où il pousse un 'purée' ! Cela me rappelle une collègue qui disait souvent 'punaise' et ça m’a pris des mois pour comprendre que des enfants bien-éduqués le disent pour éviter le mot 'Putain' !
Je souris chaque fois que je l'entends en continuant à le lécher, pensant à mon garcon français si bien élévé qui essaie d’éviter de dire dans une telle situation 'Putain'.
Sachant que je trouve le mot 'Putain' très érotique soufflé par Romain Duris qui sait si bien le dire, mon exemple d’un Parisien incarné.
- Le moment où il cherche les présérvatifs
Il sort du lit pour traverser la chambre avec un pénis érigé. J’adore regarder son sexe estrapadé, son cul, ses fesses si rondes, si bien.
- Exposé
Mon regard le suit, allongée sur le côté je vois ma hanche, mes bas, mon dos dressé, mon sexe éxposé en attente de le recevoir. Le moment où le désir évapore la gène.
- La levrette
Il adore jouir en me prenant par derrière et j’adore comme il touche mon dos, mes fesses et ce qu’il m'émeut le plus, c'est quand il touche mon épaule, il met mes cheuveux à côté pour voir ma nuque, mon visage.
- Le repos
Il revient au lit et comme un réflexe il allonge son bras pour que je puisse me blottir contre lui, mon nez contre son cou, nous parlons, je le regarde, je reprends le rythme et je me frotte contre sa hanche. J’imagine comment ça serait de m’endormir dans ses bras, si repue.
- Adieu
Au garage je le vois se préparer à prendre sa moto, un dernier regard, si loin et quand même si intense.
Je suis si heureuse, je connais ce bel homme-là !
Je suis son amante et personne ne le sait !
V 04/03/2012 12:27