L’année commence forte – j’ai un rendez-vous après l’autre et je me demande si je n’exagère pas. Mon petit réseau crée en quelques semaines marche de mieux en mieux et des nouveaux hommes arrivent sans soucis.
J’avoue que j’accepte tant des invitations aussi pour ne pas devenir accro de mon homme préféré. Ça me fait mal qu’il ne se manifeste pas tant que j’aurais aimé, hm, il faut accepter le jeu, rien à faire.
J’ai pris conscience d’une chose :
Quand je fais l’amour avec un homme que je trouve sympa, charmant, attirant etc. je me laisse aller le plus librement possible – aucun doute sur moi me freine, aucune réflexion sur l’avenir me distrait. Ce sont des moments où je suis vraiment LA et ma jouissance est complète.
Dès qu’un homme correspond à tous ce que j’imagine comme parfait, quand je chavire par sa présence et quand je n’arrête plus à vibrer- je pense toute de suite à la douleur qui va s’installer quand je ne peux plus le voir. Malgré ce bonheur de voir tous ces désirs réalisés, il y a cet ombre, cette douleur ‘pré imaginée’ qui me laisse douter, qui me freine.
Bon, cette expérience Gleeden devient une véritable thérapie, allons-y – discover yourself !